Stop à l'éolien industriel

Stop à l'éolien industriel
Un fléau d'une ampleur internationale s'abat, depuis quelques années, sur notre pays. Aidés par nos élus, les promoteurs éoliens se sont accaparés nos territoires et nos vies. Devant le massacre de notre patrimoine, un vent de colère s'élève partout sur l'hexagone. Il est grand temps de dire "STOP" à ce carnage.

samedi 22 avril 2017

Chantonnay (Vendée) : le projet de parc éolien suscite de la colère

http://france3-regions.francetvinfo.fr/pays-de-la-loire/vendee/chantonnay-projet-parc-eolien-suscite-colere-1221321.html

Par Willy Colin - Ahlam NoussairPublié le 25/03/2017
Près de 200 personnes ont rejoint l'association "Vent de révolte". Elles dénoncent les futurs impacts d'un parc éolien situé à l'entrée de la ville de Chantonnay et veulent préserver un site touristique constitué notamment d'un petit château du 15e siècle.

Les opposants au projet parlent de "monstres" qui s'inviteraient en face de chez eux. Le projet d'implantation est actuellement à l'étude.

Reportage. Par ordre d'apparition : Regis de Lambilly, vice-président de l'association "Vent de Folie", Sylvie et Robert de Lépinay propriétaires du "Donjon de Sigournais", May Prat présidente de la fédération "Vendée Tempête".
https://www.facebook.com/france3pdl/videos/1597230683639563/

👉 Non aux éoliennes dans le Pays de Chantonnay
Lutte contre l'implantation des éoliennes sur le Pays de Chantonnay en Vendée et la destruction de notre patrimoine local paysagé

👉 Bournezeau éoliennes commune 85480
Bournezeau - information sur l'implantation des éoliennes contre le mitage et la destruction des paysages - Vent de l'Injustice -
👉 Chateau-Guibert, Les Pineaux ,Thorigny NON aux éoliennes
Association "VENT de FURIE" CONTRE L'implantation des éoliennes dans NOS communes

http://chateau.guibert-les.pineaux-thorigny-eoliennes-non.over-blog.com/

👉 Fédération "Vendée Tempêtes"

👉 https://www.facebook.com/ventdefoliechantonnay/


Vidéo : 

Archives :
- Chantonnay. Un vent de colère souffle sur les éoliennes (19 décembre 2016)
Le mât de mesures des futures éoliennes, entre Chantonnay et Saint-Mars-des-Prés, vient juste d’être installé et les membres de Vent de folie sont vent debout. Ils ne comprennent toujours pas pourquoi la municipalité s’entête à soutenir ce projet.
Le sujet qui fâche ? L’installation de quatre à six éoliennes entre Chantonnay et Saint-Mars-des-Prés. Gérard Villette, le maire de Chantonnay, l’avait promis lors de la campagne de son équipe pour les municipales. Dans le cadre de la transition énergétique, la municipalité veut faire preuve de citoyenneté en multipliant les initiatives en matière d’énergies renouvelables.
Une hérésie sans nom subventionnée
Pour Sophie Orizet-Vieillefond, May Prate, Robert de Lépinay et Régis de Lambily, les membres actifs du collectif Vent de folie, l’éolien à terre ou en mer est une hérésie sans nom. Ils dénoncent une énergie intermittente et largement subventionnée avec l’argent des contribuables et des abonnés EDF (le prix de rachat du kWh éolien, 82 €, est fixé par l’état).
Selon eux, les éoliennes ne génèrent qu’un rendement de 23 % pour une durée de vie de 15 ans, avec un coût de démantèlement de 400 000 € par appareil en plus du prix de l’installation. L’aspect sanitaire les inquiète aussi. « Nous regrettons que les infrasons ne soient pas mesurés, c’est un problème sanitaire majeur. Le principe de précaution devrait s’appliquer. »

- L’IMPOSTURE ÉOLIENNE EN VENDÉE ET EN FRANCE ! (01 février 2016)
Face à la multiplication des projets éoliens en cours dans notre département, CPNT Vendée - Le Mouvement de la ruralité lance une campagne d’information sur les dangers de l’éolien par la voix de Sophie Orizet Vieillefond (lire l'artice de Ouest France), sa déléguée en charge de l’éolien, pour sensibiliser les élus, les habitants de nos communes rurales et pour manifester notre désapprobation dans le cadre des enquêtes publiques.
La France défigurée, la Vendée massacrée
Sur le plan national, plus de 1.060 associations luttent contre des projets éoliens industriels, la qualité de vie en milieu rural EST EN DANGER et oui c’est bien les citoyens vivants dans les zones rurales qui sont touchés par ces sites industriels d’aérogénérateurs à 500 mètres de chez eux. Madame la ministre Ségolène Royal et Madame la Ministre de la Santé, Marisol Touraine ont reçu des milliers de messages, pour les l’alerter du mal-être que les Français vivent.
Le silence de la Ministre sur ce sujet est inadmissible, car il s’agit d’un mépris inacceptable des victimes de ces machines de la part d’une ministre qui a fait sa carrière politique sur « l’écoute des citoyens ».
Actuellement, nous sommes moins bien protégés que les autres pays européens et nous allons devenir des cobayes humains de l’éolien industriel.
CPNT Vendée, attaché à la qualité de vie en milieu rural, à son environnement et à sa situation économique et paysagère, attire votre attention au sujet des risques de l'envahissement anarchique des parcs éoliens dans notre département, fondé sur de fausses données environnementales diffusées à des fins purement idéologiques ou mercantiles, la Vendée compte plus d’une dizaine de projets éoliens industriels à l’exemple : Château-Guibert, Thorigny, Les Pineaux, Mareuil-sur-Lay, Saint-Cyr-en-Talmondais, Bournezeau, Saint-Martin-des-Noyers, Chantonnay, Beaulieu-sur-la-Roche, Landeronde, Martinet , La Chapelle-Thémer, La Chapelle-Hermier
Une vraie programmation d’un mitage vendéen !!!
La liste n’est malheureusement pas exhaustive. De plus en plus d’associations se créent, car les Vendéens ne veulent pas de cette folie ! Si tous les projets se font en Vendée, notre territoire ressemblera à un immense hérisson.
Massacre des territoires, massacre des paysages, massacre environnemental, massacre de la qualité de vie, massacres des biens privés, et mise en danger de la vie d’autrui !
Témoignage
« Je suis au voisinage d'éoliennes près de chez vous à Pamproux (Deux-Sèvres) à 700 mètres de la première éolienne. Battez-vous pour la non-implantation des éoliennes, les nuisances sonores sont insupportables en fonction des conditions météorologiques. Mon habitation a perdu 25 % de sa valeur ». Les seuls qui y gagnent dans cette fumisterie énorme sont les propriétaires fonciers qui souvent sont des conseillers municipaux (voir l'exemple de Blanzay dans la Vienne ).
Conseil pratique
Dans toute la France les maisons et les terrains à construire situés trop près des éoliens perdent des valeurs (20 à 40%) ou même dans certains cas extrêmes deviennent invendables. Vérifiez que votre assurance habitation a bien une clause de « protection juridique » qui sera très utile si un jour vous avez à porter plainte devant un tribunal pour des nuisances causées par des éoliennes ou une perte de la valeur de vos biens . Dans ce cas vous bénéficierez de l’ «assistance juridique» de votre compagnie d’assurance.
Depuis très longtemps CPNT Vendée, dénonce également, sur le terrain et dans la presse départementale et cynégétique, le danger des éoliennes dans la cadre de la migration des oiseaux, et particulièrement dans notre département, suite aux implantations d’éoliennes réalisées dans le secteur de Longeville-sur-mer, Le Bernard (haut lieu de la migration des oiseaux!), avec la complicité financière à l’époque des supposés écologistes de la LPO, dans le cadre des études impacts !
Curieusement, les dirigeants des grandes associations environnementales qui ont participé au Grenelle de l’environnement multiplient les prises de position contre les installations d’éoliennes dans les zones naturelles où sont présentes certaines espèces d’oiseaux. À côté de cela, ils soutiennent les éoliennes dans les secteurs d’occupation humaine !
Cherchez l’erreur !!!
L'ARNAQUE CITOYENNE
Soupçons d'arnaque : le placement miracle vire à la déroute (extraits article leparisien.fr)
Lire l'article complet leparisien.fr - 21 janvier 2016
En faisant miroiter rendements records et défiscalisation, FSB Holding a englouti des millions d'euros d'épargne. La justice soupçonne une gigantesque arnaque.
Ce sont les pigeons de l'éolien. Chômeurs, retraités, employés... ils sont de toutes les classes sociales, de toutes les régions françaises, de tous les niveaux d'études. Tous ont placé, les yeux fermés, leurs économies dans des produits financiers alléchants, censés faire pousser des champs d'éoliennes et de panneaux solaires.
Croyant préparer l'avenir, ils hypothéquaient leur futur. « On compte plusieurs milliers de clients floués », assure Hélène Féron-Poloni, l'une des avocates des victimes. Car, oui, il s'agit de victimes. Victimes de leur propre crédulité, peut-être. Les ressemblances avec d'autres grandes escroqueries financières (Madoff, Aristophil, etc.) sont troublantes : rendements promis mirobolants, des millions d'euros (40 M€ précisément) évaporés, des montages opaques, une multitude de sociétés imbriquées les unes dans les autres... Il reste que ces épargnants sont avant tout victimes de financiers sans scrupules.
Du cadre au chômeur, ils se sentent floués.
Où sont donc passés les 40 M€ des épargnants séduits par les produits du groupe FSB Holding et sa filiale France Energies Finance (FEF) ? Ce sera à lajustice de l'établir. Selon nos informations, une enquête préliminaire est ouverte au parquet de Paris. La brigade financière tente d'éclaircir cette affaire tentaculaire aux ramifications internationales. Les enquêteurs s'appuient sur plusieurs signalements de l'Autorité des marchés financiers (AMF) et de Tracfin, la cellule antiblanchiment de Bercy
(…) Retour de bâton pour le Girardin industriel
Pour inciter les investisseurs à financer le développement économique des départements d'outre-mer, l'Etat a mis en place un dispositif fiscal particulier. Appelé Girardin industriel, il offre d'énormes ristournes fiscales aux particuliers plaçant leur argent dans des sociétés chargées d'investir sur place, notamment dans la construction de centrales électriques. Par le biais d'une de ses filiales — France Energies Finance (FEF) —, FSB Holding a ainsi mené en 2010 et 2011 deux campagnes de défiscalisation. Selon le rapport de l'administrateur judiciaire, quelque 12 M€ ont été récoltés auprès de 840 contribuables. Leur réduction d'impôt n'est validée par le fisc que si les centrales produisent bel et bien du courant. Problème, « les éoliennes n'étant toujours pas à ce jour en l'état productif, note l'administrateur, la défiscalisation opérée par les investisseurs semble pouvoir être contestée par l'administration fiscale ». Pis, il « s'interroge sur la réalité du montage».
CPNT Vendée s’interroge : s’il s’agit vraiment d’intérêt général, pourquoi monnayer l’accord des conseils municipaux ? Le fait de dédommager systématiquement les communes, tout en contribuant à leur paupérisation, est un aveu des dégâts et nuisances causés par l’éolien industriel et une preuve de l’absurdité technique et économique des éoliennes.
CPNT n’est pas hostile à une nouvelle politique énergétique renouvelable complémentaire, comme la géothermie ou l’utilisation de la biomasse voire les marées, la méthanisation, le développement de la filière bois, le solaire… Mais pas n’importe comment avec l’éolien !
CPNT Vendée demande à tout mettre en œuvre pour que les territoires ruraux ne soient pas couverts de champs d’éoliennes. La Vendée est belle et riche de ses paysages remarquables, conservons cette qualité de vie pour les générations futures et pour le développement du tourisme dans notre département !



- À Chantonnay, les détails du projet de parc éolien (16 décembre 2015)
Il pourrait accueillir une demi-douzaine d’éoliennes sur un terrain qui longe le boulevard Voeckler. Vendée énergie est en charge de ce nouveau dossier.
Le conseil municipal du 24 octobre avait validé un projet d’étude « éolien » dans la commune de Chantonnay. « On a déjà du photovoltaïque aux ateliers municipaux, bientôt de la méthanisation, des bornes pour les voitures électriques, zéro phyto sur les espaces verts », se réjouit Gérard Villette, le maire, faisant remarquer que le projet arrive « juste après la COP 21 ».
Les élus municipaux veulent un projet « exemplaire et parfaitement intégré au territoire, du point de vue technique, environnemental mais aussi et surtout social ». Des entreprises locales participeront à la construction. « Concertation et information de la population accompagneront cette initiative », promet-on.
Éolien et méthanisation
Le projet de Chantonnay sera implanté dans la zone qui longe le boulevard Voeckler, au-delà de la zone industrielle des Pierres-Brunes. Quatre à six machines pourraient y être installées. Un autre projet est d’ailleurs programmé au même endroit : le centre de méthanisation, dont les études préalables se terminent. Les premiers KW de ce futur parc pourraient être produits en 2019. 

😊et aussi 😊
- La Roche-sur-Yon : 300 personnes contre les projets éoliens en Vendée
A La Roche-sur-Yon, près de 300 personnes ont manifesté, samedi 25 mars, contre les projets éoliens prévus sur la Vendée.
Environ 300 personnes se sont réunies, samedi 25 mars, pour une manifestation contre les plans éoliens prévus sur le département et au-delà. Sifflets et casseroles étaient au rendez-vous, tout comme des drapeaux bretons et une cornemuse.
Le siège du Sydev (syndicat d’énergie de la Vendée), en bas de la rue du Maréchal Juin, la préfecture, le kiosque de la place Napoléon, la permanence d’Alain Leboeuf, président du Sydev et le conseil départemental ont reçu la visite du cortège d’anti-éoliens.
La circulation a été momentanément déviée et des tracts ont été distribués à tous les carrefours. « La Vendée n’est pas à vendre », « Oui à la plaine, non aux éoliennes », « Oui au bocage, non au carnage », « la Vendée n’est pas à vendre », « Touche pas à mon paysage », tels sont les slogans qui ont été proférés, en plus d’attaques virulentes contre des élus départementaux.
La manifestation a eu une suite autour d’un repas à l’Hôtel Ibis, situé près du Vendéspace. Deux avocats angevins étaient présents, Maîtres Echézar et Isabelle de Bodinat. Cette dernière, avocate spécialisée en droit de l’environnement appliqué aux projets éoliens industriels, a plaidé (et parfois gagné) pour de nombreuses associations sur l’ensemble du territoire français.
Les deux avocats ont fait un point sur l’état du droit en la matière et ont répondu aux questions des participants.